OpenAI tente de réduire sa dépendance à l’égard de Nvidia
;
en suivant une voie très ambitieuse : produire ses propres
puces spécialisées pour faire fonctionner ses modèles d’IA. Une stratégie
nécessitant un énorme engagement en capital, que l’entreprise de Sam
Altman cherche dans les Émirats arabes unis.
Le Financial Times a publié
une série d’informations indiquant comment le groupe MGX,
soutenue par le gouvernement des Émirats, est en pourparlers pour investir dans l’initiative d’OpenAI visant à construire des puces d’IA adaptées à ses besoins ;
investir dans l’initiative d’OpenAI visant à construire des puces d’IA adaptées à ses
ses propres besoins. Le plan d’OpenAI nécessite des investissements de l’ordre de
trillions de dollars, et le groupe MGX pourrait fournir une partie de ce capital ;
une partie de ce capital.
MGX est une réalité nouvellement née, établie cette semaine par une
collaboration entre le fonds souverain Mubadala e G42,
un groupe d’investisseurs basé à Abu Dhabi qui s’intéresse au domaine
de l’intelligence artificielle. OpenAI avait déjà conclu un accord de
partenariat avec G42 en octobre 2023 dans le cadre de ses projets de
d’expansion au Moyen-Orient. MGX coordonné par Sheikh Tahnoon
Bin Zayed al-Nahyan, conseiller à la sécurité nationale des
Émirats.
Il s’agit d’une opération qui, si elle devait se traduire dans les faits,
créerait « une structure qui mettrait Abu Dhabi au centre de cette stratégie d’intelligence artificielle avec des partenaires mondiaux dans le monde entier » ;
cette stratégie d’intelligence artificielle avec des partenaires mondiaux dans le
du monde », comme l’a déclaré l’une des sources du Financial Times.
Le
le mois dernier, Sam Altman a exposé sa vision : créer un réseau mondial de fabriques de semi-conducteurs ;
réseau mondial de « fabs » de semi-conducteurs soutenu par une coalition de
fabricants de puces (TSMC, Samsung et Intel devraient jouer un rôle clé), de l’énergie, de l’État et du secteur privé ;
rôle clé), de l’énergie, de l’État et d’entités privées afin de réunir rapidement les capitaux nécessaires, qu’il estime à 1,5 milliard d’euros par an ;
le capital nécessaire, qu’il estime de l’ordre de 5-7000
milliards de dollars.