Comme déjà déclaré lors du dernier MWC à Barcelone. Nokia développera des technologies révolutionnaires mise en œuvre du système de communication LTE/4G sur la surface lunaireet contribuer à ouvrir la voie à une présence humaine durable sur la Lune.
Dans le détail, le contrat attribué à Nokia s’inscrit dans le cadre de l’appel d’offres de l’Union européenne. Point de basculement par la NASA, qui favorise le développement de capacités spatiales commerciales et profite aux missions futures. La NASA prévoit d’exploiter ces innovations dans le cadre de son programme Artemisqui établira des opérations durables sur la Lune d’ici la fin de la décennie, en préparation d’une expédition vers Mars.
4G sur la Lune : quel est le véritable objectif de Nokia ?
Nokia se prépare à lancer un réseau mobile 4G sur la Lune d’ici la fin de l’année, et prévoit de placer le réseau sur une fusée SpaceX dans les mois à venir. Le réseau sera alimenté par une station de base équipée d’une antenne stockée dans un atterrisseur lunaire Nova-C conçu par la société spatiale américaine Intuitive Machines, ainsi que par un rover solaire. Nokia précise que l’équipement utilisé pour le projet a été spécialement conçu pour être utilisé dans le cadre d’un projet de recherche et de développement. modifié pour faire face aux contraintes environnementales de l’espace.
L’objectif est de démontrer que les réseaux terrestres peuvent répondre aux besoins de communication des futures missions spatiales. Le réseau lunaire de Nokia se compose d’une station de base LTE avec fonctionnalité EPC (Evolved Packet Core) intégrée, d’un équipement utilisateur LTE, d’antennes RF et d’un logiciel de contrôle des opérations et de la maintenance (O&M) très fiable. La station de base LTE avec fonctionnalité EPC intégrée sera montée sur le module d’atterrissage, tandis que l’équipement utilisateur LTE sera monté sur un module d’atterrissage. rover ou d’autres charges utiles réparties à l’extérieur de l’atterrisseur.
Le rover aura deux objectifsle premier pour tester la communication de proximité très proche, jusqu’à quelques centaines de mètres, et le second pour les test de communication à longue portée dans un rayon de deux à trois kilomètres autour de l’atterrisseur. La dernière partie du système est un logiciel d’exploitation et de maintenance personnalisé afin que l’ensemble du système puisse être surveillé et configuré depuis le centre de contrôle de la mission sur Terre.
Aucune date de lancement n’a encore été fixéemais la route vers la présence d’un réseau LTE dans l’espace semble proche.