La mission malheureuse de la L’atterrisseur lunaire astrobotique PeregrineLe lancement de Peregrine, le premier atterrisseur commercial privé américain qui devait ramener la nation sur la surface de la Lune depuis les missions Apollo (achevées en 1972), ne s’est pas déroulé comme prévu. Comme nous le savons, peu de temps après le lancement, un grave problème à système de propulsion a affecté le sort de l’atterrisseur, qui n’était plus en mesure de se déplacer. atterrissage lunaire alors que les ingénieurs de la société tentaient de prolonger au maximum la durée de vie opérationnelle de Peregrine dans l’espace.
Les ingénieurs ont néanmoins pu alimenter les charges utiles actives afin de commencer à collecter des données sur certaines d’entre elles et de vérifier l’état de santé des autres. Bien sûr, ce n’est pas l’objectif principal, qui impliquait une intervention de l’Union européenne. atterrissage en douceur à Lunemais les missions spatiales restent un grand défi (surtout lorsque le budget est relativement limité et que l’entreprise en est à sa première expérience).
La destruction de l’atterrisseur Astrobotic Peregrine
Bien qu’il ne dispose pas encore d’un motivation final pour le fauteil apparaît que le L’atterrisseur astrobotique Peregrine a connu un grave problème avec une valve pour l’hélium, un gaz utilisé pour maintenir les réservoirs sous pression, et l’oxydant. Cette vanne ne se serait pas fermée correctement après le premier déclenchement, ce qui aurait provoqué une augmentation de la pression dans le réservoir d’oxydant, entraînant son explosion. La cause sera déterminée de manière concluante par une commission indépendante.
Que faire avec un atterrisseur lunaire qui ne pourra pas lunaire et à court de carburant ? Le choix d’un atterrissage dur sur la Lune n’était pas possible car d’autres manœuvres auraient été nécessaires, pour lesquelles le propergol n’était pas disponible. Laisser un tel objet sur une trajectoire cislunaire aurait pu provoquer des débris indésirables, surtout dans la perspective de futures missions spatiales habitées. Le laisser sur une trajectoire proche de la Terre aurait également entraîné des risques pour les satellites et d’autres missions.
C’est pourquoi l’entreprise a décidé de faire brûler Astrobotic Peregrine dans l’atmosphère terrestre. En raison de sa petite taille et de l’absence de structures protectrices, le risques pour les personnes ont été réduit. La compagnie, en accord avec les agences gouvernementales américaines, a également décidé de choisir une trajectoire de rentrée qui pointe vers une zone relativement dégagée de l’océan Pacifique près de Vanuatu. La rentrée atmosphérique aurait dû avoir lieu vers 21:59 aujourd’hui, heure italienne, selon la perte de signal.
Le lander a fonctionné dans l’espace pendant environ 10 jours et 10 heures. Dans les dernières communications de Astrobotic il a été souligné que Peregrine fonctionne de manière stable et qu’il est capable de répondre aux commandes envoyées depuis la Terre via le DSN. Avant les adieux, la société a également publié ce qui est censé être la dernière image disponible. Il s’agit d’une photo prise dans la matinée d’aujourd’hui, où Terra se montre entre les structures de l’atterrisseur. Demain, cependant, il y aura un autre rendez-vous avec la Lune. En effet, à 16 heures, les opérations d’alunissage de l’atterrisseur japonais JAXA SLIM débuteront.