Actuellement, le NASA prévoit toujours officiellement que lel’alunissage avec le Mission Artemis III aura lieu d’ici à la fin de 2025, mais de nombreux doutes subsistent quant à la faisabilité de cette entreprise à cette échéance. Il a été dit à plusieurs reprises par le passé que le retour d’êtres humains sur la Terre ne serait pas possible sans l’aide de l’Union européenne. Lune pourrait avoir quelques années de retard, bien qu’il soit encore difficile d’en déterminer l’ampleur avec précision. Dans la dernière analyse de la Government Accountability Office (ou GAO) est indiquée comme date possible, bien qu’elle soit assortie d’un délai de deux ans. feuille de route très agressive, au début de l’année 2027.
Plusieurs aspects peuvent entraîner des retards dans l’exécution du programme. mission Artemis III comme le développement de la atterrisseur lunaire HLS (Human Landing System) avec un vaisseau spatial SpaceX Starship modifié ou la création de nouvelles combinaisons spatiales par Axiom Space.
Le GAO a souligné que le calendrier de développement du nouvel atterrisseur lunaire, qui est de 79 mois, est inférieur de 13 mois à la moyenne des grands projets de la NASA (et quelle que soit la rapidité de SpaceX, elle sera confrontée à de nombreuses inconnues). L’agence gouvernementale souligne également que « la complexité des vols habités suggère qu’il n’est pas réaliste de s’attendre à ce que le programme achève son développement plus d’un an avant la moyenne des grands projets de la NASA, dont la plupart ne sont pas des projets de vols habités ».. Si les délais étaient identiques à ceux des autres programmes de l’agence, le GAO estime que Artemis III pourrait avoir lieu à l’adresse suivantedébut 2027.
Certaines des raisons de ces retards sont liées au développement de la Vaisseau spatial (version atterrisseur lunaire) n’ont pas été précisées, mais le développement des technologies clés a été reporté de 2023 à 2024, notamment en raison du temps nécessaire entre la première tentative de lancement en avril et la seconde en novembre.
L’un des aspects les plus critiques est le transfert du propergol depuis le Starship « tanker » (pétrolier) à ceux qui s’appellent « dépôt » (dépôt) au vaisseau spatial qui effectuera la mission sur la Lune. Il faudra plusieurs lancements successifs dans des délais serrés pour éviter que le propergol cryogénique ne se perde, ce qui pose évidemment des problèmes majeurs qui devront être résolus par SpaceX et qui devra être démontrée lors d’essais sans équipage avant que nous puissions voir des astronautes sur la Lune. Le développement de la Moteurs Raptor est considéré comme un élément essentiel de l’atterrisseur lunaire, qui devra présenter des performances et une fiabilité adéquates pour être certifié pour le vol humain.
Un autre aspect concerne la nouvelles combinaisons spatiales. Espace d’axiomes est en train de les développer et un prototype a été présenté dans le passé. L’entreprise tirerait parti des combinaisons spatiales conçues par la NASA, appelées xEMU (Exploration Extravehicular Mobility Units), mais ces modèles ne disposent pas d’un système de survie d’urgence garantissant 60 minutes d’activité supplémentaire en cas de besoin. Axiom Space mettrait en place ce système au prix d’une modification de la conception des combinaisons elles-mêmes, ce qui pourrait entraîner des retards de livraison.