Avec le succès de la mission Chandrayaan-3 et celui, plus mitigé, de la mission Luna-25, l’Agence spatiale européenne (ASE) est en passe de devenir l’un des principaux partenaires de la Chine. Luna fait l’objet d’une grande attention ces derniers temps. Les missions robotiques continuent de fasciner, surtout lorsqu’elles quittent l’orbite terrestre basse, mais l’objectif principal des agences et des nations est d’amener la planète Luna sur la Terre.être humain sur Lune après les missions Apollo. Le programme Artemis est sur le point de démarrer la deuxième mission, prévue pour la fin de 2024, tandis que le programme Luna est sur le point de démarrer la deuxième mission, prévue pour la fin de 2024. Chine se prépare à lunaire avec un équipage par 2030.
La nation asiatique avait annoncé puis confirmé à plusieurs reprises que le programme spatial se poursuivait en développant de nouveaux lanceurs et tout ce qui sera nécessaire pour amener l’équipage à la surface de notre satellite naturel. Ces jours-ci, nous CNSA e CMSA Il a été annoncé que le projet d’exploration de l’espace lunaire se poursuit et les agences ont demandé aux citoyens de trouver un nom pour le vaisseau spatial, l’atterrisseur et le rover en montrant deux nouveaux rendus.
La Chine présente de nouveaux rendus de vaisseaux spatiaux et d’atterrisseurs pour des missions lunaires
Dans un communiqué de presse publié à la fois sur le site et les canaux de l’agence spatiale sociaux Un concours d’un mois a été organisé en Chine dans le but de trouver des noms pour identifier les vaisseau spatial, le l’atterrisseur lunaire et le rover qui sera utilisé par les astronautes lors de leur séjour dans l’espace. Lune. Dans le passé, une vidéo démontrant les plans de la Chine pour l’alunissage qui ressemblera plus à Artemis qu’à Apollo.
En particulier, deux fusées spatiales distinctes dérivées de la Longue Marche 5 seront utilisées, avec l’atterrisseur lunaire et le rover (intégrés dans sa structure) sur l’une d’entre elles. L’atterrisseur sera placé sur une orbite de stationnement lunaire, tandis qu’une deuxième fusée spatiale transportant les astronautes partira de la Terre.
Sur le côté droit de l’atterrisseur, on peut voir le rover lunaire plié.
Une fois en orbite lunaire, la sonde effectuera les opérations suivantes amarrage avec l’atterrisseur pour la descente à la surface du satellite naturel. Les deux astronautes y mèneront diverses expériences scientifiques, puis retourneront à l’atterrisseur, qui les ramènera en orbite en faisant le tour du monde. amarrage avec le vaisseau spatial (où un troisième astronaute les attendra). Ce dernier les ramènera ensuite sur Terre.
La structure de l’engin spatial fabriqué par Chine est dérivé de celui de Missions Shenzhou (pour les missions en orbite basse) ainsi qu’un module de service. Le vaisseau spatial sera réutilisable pour de multiples missions, ce qui réduira les coûts, et pourra également effectuer des missions en orbite basse avec jusqu’à sept astronautes à bord. Le rover lunaire (pliable) aura une masse de 200 kg et pourra transporter deux astronautes à environ 10 km au-dessus de la surface.