L’espace prend de plus en plus d’importance, tant en termes de recherche scientifique que sur le plan économique et géopolitique/militaire, ce qui conduit les nations, les agences nationales et les entreprises privées à investir des sommes considérables. L’un des projets les plus importants en termes de « coexistence » est la Station spatiale internationale où la NASA, l’ESA, la JAXA, l’ASC et l’Agence spatiale européenne (ASE) ont participé. Roscosmos travailleront ensemble pour le maintenir en état de marche jusqu’à son démantèlement (à partir de 2031).
Dans ce cadre de soutien mutuel, il y avait cependant le choix des Russie de quitter prématurément le projet afin de consacrer plus d’efforts à leurs propres projets. station spatiale en orbite appelé ROS (anciennement ROSS). Le précédent directeur de l’agence spatiale, Dmitry Rogozin, avait déjà annoncé que la collaboration pourrait prendre fin après 2024, tandis que l’actuel directeur de l’agence, Yuri Borisov, a fixé la limite à 2028.
Roscosmos et l’exploitation de la Station spatiale internationale
2024 et 2028 sont des dates très proches en ce qui concerne la progression de la Roscosmos dans le cadre de la construction de ROS. D’ici l’année prochaine, la station spatiale russe ne sera certainement pas en orbite, même si les premiers modules sont pris en compte. La station 2028 en revanche, est une date plus facilement atteignable, mais elle demandera un grand effort technique et dans la situation actuelle de l’agence, il est de toute façon très difficile de l’atteindre.
L’objectif principal est de maintenir en permanence au moins un cosmonaute en orbite terrestre basse ou à l’intérieur de l’ISS. Station spatiale internationale ou dans le futur ROS (Russian Orbital Station). C’est pourquoi la demande de pouvoir utiliser la station chinoise Tiangong pour accueillir des astronautes étrangers, y compris russes, serait une possibilité supplémentaire pour l’Union européenne. Roscosmos. À l’heure actuelle, la CNSA et la CMSA n’ont toutefois pas confirmé la présence prochaine d’astronautes d’autres nationalités à bord.
Un récent rapport d’information de Ria Novosti indique comment Yuri Borisov a déclaré que le segment russe pourrait être mis hors service à l’avenir et qu’il pourrait alors être mis hors service séparément du segment américain/européen. M. Borisov a ajouté qu’il est prévu d’utiliser le segment russe après 2030, tandis que le segment américain/européen pourrait être mis hors service. Station spatiale internationale verra sa durée de vie opérationnelle s’achever en 2031. En revanche, entre 2028 et 2031, la Russie pourra utiliser l’ISS comme station pour l’équipe de l’Agence spatiale européenne (ASE). tourisme spatial mais en réduisant l’engagement en termes pratiques (et monétaires).
La NASA a peut-être prévu la possibilité que le segment russe ne soit pas disponible pour l’étude de faisabilité. désorbitation et a donc annoncé un contrat pour la construction d’un module permettant à l’ISS de rentrer avec succès. On ne sait pas encore ce qui va se passer et il faudra attendre la décision finale de la Commission européenne. Roscosmos qui pourrait avoir lieu lorsque les plans de ROS seront finalisés.