La Lune revient l’une des priorités pour plusieurs pays de l’Union européenne. agences spatiales e entreprises privées qui ont planifié ou planifient des missions vers le satellite naturel de la Terre. Bien entendu, le point culminant sera le retour d’êtres humains à sa surface (et le premier devrait être les États-Unis avec le programme Artemis vers 2025, plus probablement 2026/2027). En attendant, il existe d’autres missions robotiques qui continueront à collecter des données et des informations utiles.
Parmi ceux-ci, après le succès indien de Chandrayaan-3 et l’échec russe de Luna-25, on ne peut manquer de mentionner le problème survenu avec la mission japonaise privée HAKUTO-R d’iSpace. Cependant, les Japonais ont une autre mission qui est actuellement en orbite autour de la Lune et dont le nom est atterrisseur lunaire è SLIM (Smart Lander for Investigating Moon). Il a été lancé en septembre et devrait atterrir dans la seconde moitié de janvier 2024.
L’atterrisseur lunaire japonais SLIM est entré en orbite avec succès
Selon l’agence spatiale japonaise, JAXAle atterrisseur lunaire est entré avec succès en orbite autour de la Terre. Lune à 8h51 aujourd’hui, 25 décembre (heure italienne), entamant les procédures qui l’amèneront à se poser sur le sol lunaire plus tard pour commencer sa mission.
L’orbite de la Atterrisseur japonais SLIM est actuellement elliptique polaire (survolant les pôles sud et nord de la Lune) avec une période orbitale de 6,4 heures. L’altitude minimale est d’environ 600 km de la surface, tandis que l’altitude maximale est d’environ 4 000 km. D’après le JAXA I Smart Lander pour explorer la Lune fonctionne nominalement et aucun problème n’est signalé.
L’orbite sera maintenue jusqu’à la mi-janvier 2024, date à laquelle elle passera d’une orbite elliptique à une orbite circulaire, à environ 600 km. Cette opération précédera une première baisse d’altitude jusqu’à 150 x 600 km tandis que, vers le 19 janvier 2024 (heure japonaise), il passera à une orbite de 15 x 600 km. L’alunissage est prévu aux alentours de 16h20 le 19 janvier 2024 (heure italienne, 0h20 le 20 janvier, heure japonaise), la descente commençant 20 minutes plus tôt. Si le Japon réussit, il sera la cinquième nation à réussir à poser un objet sur la Lune. Lune correctement après l’Union soviétique/Russie, les États-Unis, la Chine et l’Inde.
Le L’atterrisseur japonais SLIM L’objectif principal de l’atterrisseur japonais SLIM est d’effectuer des tests afin de pouvoir atterrir à l’endroit voulu avec la plus grande précision possible, ce qui est plus élevé que lors des missions précédentes. Étant donné que les atterrisseurs ne se déplacent pas (ou seulement sur quelques mètres) à la surface d’un corps céleste, il est important d’atterrir avec précision pour pouvoir analyser le terrain et les roches qui ont été choisis comme cibles scientifiques.
L’agence spatiale a notamment utilisé les données des orbiteurs LRO (NASA) et Kaguya (JAXA) pour rechercher la zone où l’atterrisseur devrait se poser. L’objectif est d’atterrir dans une zone de 100 mètres au lieu de kilomètres ou de dizaines de kilomètres comme auparavant. Les conditions minimales de réussite de la mission sont la réalisation d’un atterrissage en douceur en tirant parti du système d’identification visuelle de la surface pour la navigation et en ayant ainsi mis au point un atterrisseur léger et bon marché capable de le faire. Si une précision de 100 mètres peut être atteinte, ce sera un atout supplémentaire, et s’il peut fonctionner tant que le soleil éclaire cette zone du pôle sud lunaire, la mission sera un succès complet.
La masse totale de SLIM est de 200 kg sans propergol et de 730 kg avec propergol. Ses dimensions sont de 2,4 x 1,7 x 2,7 mètres. Le radar d’atterrissage a été fourni par Mitsubishi Electric, tandis que l’altimètre laser et la caméra de navigation ont été fabriqués par Meisei Electric. Le projet a été proposé en 2012 et lancé au second semestre de cette année. Le projet a été proposé en 2012 et lancé au cours du second semestre de cette année. Japon est un partenaire de l Programme Artemis et le succès de cette mission peut donc être un bon signe pour l’avenir de l’Europe. carte de visite pour la poursuite du programme international mené par la NASA.